Lettre ouverte rédigée dans le cadre de la Journée mondiale de la justice sociale, soulignée chaque année le 20 février.
Au Québec, encore aujourd’hui, ce sont plus de 800 000 personnes qui vivent sous le seuil de la pauvreté. Avec l’arrivée de la pandémie et toutes ses conséquences, ce sont ces mêmes personnes qui écopent le plus.
En effet, lorsque tous les loisirs gratuits ferment leurs portes, les personnes en situation de pauvreté n’ont aucune alternative pour briser leur isolement. Lorsque le coût des denrées alimentaires augmente d’en moyenne 4%, ça fait une énorme différence dans les tous petits budgets.
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Mais est-on surpris? Après 40 ans de coupures dans les services publics et les programmes sociaux, l’état de la situation ne devrait étonner personne. Et pendant ce temps, les plus fortunés de notre société s’enrichissent à une vitesse folle et continuent à profiter de passe-droits fiscaux et économiques. Depuis 2008, les revenus des ménages des 10% les plus riches ont augmenté plus rapidement que ceux des 10% les plus pauvres dans la plupart des pays fortement industrialisés.
En cette Journée mondiale de la justice sociale, nous tenons à rappeler que le gouvernement a les moyens de rebâtir notre filet social afin de régler toutes ces injustices. Les crises qui suivront celle de la COVID-19 seront d’ordre économique et environnemental. Elles ne pourront pas être réglées par un vaccin et bouleverseront davantage nos conditions de vie. Pour y faire face, notre société aura besoin d’un filet social fort, au risque d’échapper encore davantage de personnes.